Comme son nom l’indique, ce projet est pour le moment un mystère… euh… mystérieux !
Donc, je ne peux pas vous en dire plus mais, en revanche, je peux tout à fait partager avec vous quelques photos de mes recherches de personnages histoire de vous mettre un peu en appétit !
Beaucoup, beaucoup de crayonnés
Le personnage principal
Un zoom sur le personnage féminin qui est une fillette espiègle mais débrouillarde. Dans un univers steampunk ? Post-apo ? On ne sais pas.
Le familier
Un personnage principal n’est rien sans son acolyte-familier de choc !
Le faire valoir
Et enfin, le « faire valoir » qui va venir, par contraste, mettre en valeur les qualités du personnage principal.
Voilà, c’est tout ce que je peux vous en dire pour le moment mais n’hésitez pas à vous abonner au blog pour être tenu au courant de la suite, parce que vous allez en entendre parler très bientôt !
Ou comment j’ai fêté ma saint Alexandre avec cinq carnets et une crise existentielle.
22 avril — Jour de ma fête, pour l’anecdote.
Je pars en ville avec une idée simple en tête : retrouver un Goldline 140g A4 spirales, format paysage. Un basique. Un vrai. Plus de boutique à moi, donc direction les points de vente restants sans trop d’illusions.
Premier arrêt : Grand Forum
11h00, pas de conseiller en rayon — ce n’est pas un problème pour moi, mais c’est bon à noter. Je trouve quelques Goldline, pas le bon format. Finalement, je repère un A4 paysage relié, à 19,90 €. Ça peut faire l’affaire, à défaut.
Je vais à la caisse, je demande s’il y a une remise pour les artistes (le fameux 10 % pro). Appel téléphonique en caisse, réponse : non. -___- et ben super Je repose le carnet. Merci, au revoir.
Rayon globalement propre, mais certains présentoirs criblés de tests de crayons. Version sauvage. Offre très standard. Peu de souffle.
Deuxième arrêt : L’Intranquille
11h30, ambiance différente, mais même absence de conseil. Je ne trouve que les éternels blocs Canson, papier scolaire, rien de pro. Je croise enfin une vendeuse. Je lui demande s’il y a une remise pro. Elle me dit que « oui » mais évoque la Maison des Artistes, puis l’URSSAF… puis doute. Je connais mieux le sujet qu’elle, mais je la laisse chercher ses mots. Par politesse.
Je lui demande si une commande de Goldline est prévue. Réponse : “Je ne sais pas.” Est-elle du rayon ? “Non, je remplace.” Les gens du rayon ? “En vacances. Tous. En même temps.” Voilà. -___- et ben re super
Disons que l’expertise était… en congé payé pendant que les tubes de peinture étaient écrabouillés.
Retour maison. Plan C : Internet (qu’est-ce que tu veux que je te dise !)
Cultura en ligne ? Rien. Amazon ? Je trouve une version portrait à 16,41 €. Puis je tombe, au détour d’un clic, sur le modèle exact que je cherchais — mais avec pages ivoire au lieu de blanc. Et le vendeur ? Clairfontaine!Sur Amazon !Directement. Tarif ? 12,60 € en déstockage + 5 % de remise.
Résultat ? J’en ai pris cinq.
Oui. Cinq. À ce tarif-là, j’aurais eu presque deux carnets pour le prix d’un en boutique. Commandé chez le fournisseur. Sur Amazon. Sans lever un sourcil.
Conclusion
Je ne suis plus commerçant. Mais je reste professionnel et je pense à mes collègues indépendants du quartier. Je sais ce que je vaux et ce que vaut le conseil, le vrai.
Quand je vois mes anciens fournisseurs vendre moins cher que moi, en direct, sur la plateforme qui tue le commerce local, je me dis :
C’était perdu d’avance !
On n’a pas perdu la guerre à cause des clients. On l’a perdue parce qu’on se fait tirer dans le dos… par ceux qui nous vendent les munitions.
Edit : Nous sommes samedi 26/04/25 et les carnets sont arrivés, en bon état. J’ai du stock pour un moment, pas le choix… ^_^
Je vais prendre le temps de tout vous expliquer ici, ce sera plus simple et plus facile à retrouver que sur les réseaux.
Que s’est-il passé ? Pourquoi la papeterie est fermée ?
C’est très simple, la papeterie a fermé à cause du manque de fréquentation du centre-ville. Depuis le mois de janvier 2025, la présence des visiteurs s’est faite du plus en plus rare et tous les commerces du centre s’en sont trouvés impactés… La papeterie étant encore très jeune et n’ayant pas eut de répit depuis sa création en 2020, il n’a donc pas été possible de faire face au déficit croissant et le choix de la liquidation s’est imposé de lui-même.
Comparativement au processus de création qui est lent, fastidieux et souvent chronophage en pure perte, celui de la liquidation et « violemment » rapide puisqu’il ne faut pas plus d’une semaine pour le valider et vous n’avez que très très peu de temps pour tout mettre en ordre avant de quitter les lieux.
Donc maintenant, que sont les bonnes nouvelles ?
Je ne peux pas toutes les énumérer ici, tout d’abord parce que, pour commencer, il va s’agir d’en parler… dans un podcast !
C’est bien ça ! Un podcast dans lequel je vais vous raconter pleins de choses comme, par exemple, toute mon expérience de création de la papeterie, mais pas que… Il y aura aussi des invités. ;)
Autre bonne nouvelle, le café-crayon va enfin voir le jour ! C’est quoi le café-crayon ? C’est un rendez-vous tout simple dans un café, où on prend une conso et… on dessine ! :D
Jusqu’à présent, c’était le lieu qui manquait, mais ce problème est en train de se solutionner. ;)
Je prépare activement la suite !
Il y a une troisième bonne nouvelle dont je suis en train de préparer la communication. Je ne peux pas vous en dire plus pour le moment, mais je vous en laisse un petit aperçu sur la photo. :)
Un petit peu de détails ;)
Voilà pour les nouvelles ! Ayant une confiance toute relative vis-à-vis des réseaux sociaux et de leur efficacité à faire passer l’info, n’hésitez pas à vous abonner ici même à ce blog pour recevoir le notifications de publications par mail parce-ce que je peux vous dire qu’il va y en avoir pas mal d’autres ! :)
FR : Aujourd’hui, je partage avec vous cette illustration d’un iguane réalisée à l’encre et à l’aquarelle. Ce travail de commande m’a permis d’explorer les contrastes et les textures pour donner du caractère à mes sujets, et ce reptile s’y prête particulièrement bien avec ses écailles et ses crêtes imposantes.
J’ai voulu capter son regard intense et son attitude fière, tout en ajoutant un fond graphique qui met en valeur ses détails naturels. Travailler avec l’encre permet d’apporter une profondeur marquée, tandis que l’aquarelle ajoute des nuances vivantes.
Qu’en pensez-vous ? Aimez-vous ce style d’illustration ? Si vous souhaitez passer commande, n’hésitez pas à me contacter.
Tout d’abord, je tiens à m’excuser pour le retard de cette publication. Cette semaine a été particulièrement intense à la boutique, ce qui m’a laissé peu de temps pour partager mes créations, bien que j’aie beaucoup dessiné. D’ailleurs, je pense opter pour une publication hebdomadaire à l’avenir. Cela me semble plus gérable de mon côté et probablement plus agréable pour vous à suivre, n’est-ce pas ? :)
Cette semaine, j’ai refait la vitrine du magasin, en y intégrant souvent des illustrations de ma propre création pour démontrer ce que l’on peut réaliser avec les produits exposés. Pour cet exemple, j’ai choisi le héros du manga One Punch Man : Saitama, « le chauve à la cape » ! Je me suis inspiré d’une case du manga que j’ai retravaillée à ma sauce, utilisant du crayon bleu, de l’encre de Chine, une plume G et du lavis sur un carnet Leuchtturm « croquis » 150g.
Ensuite il y a les croquis du café sur lesquels j’ai travaillé pour tout un tas de projets différents. Il y a les séries de mains qui sont toujours un bon exercice quand on a une panne d’inspiration et un loup que je voulais faire de tête pour voir si ma mémoire visuelle fonctionne correctement. :)
Après, il y a eu les œuvres brutes des passants avec les craies de trottoir ! Le thème du jour, c’était « les grimaces » ! :D
Et pour finir, dans le but de continuer à embellir la vitrine, j’ai réalisé une petite série d’instantanés à l’aquarelle, prenant comme sujet les clientes de la terrasse du restaurant voisin BON2. L’objectif était de mettre en avant une petite boîte d’aquarelles Lefranc Bourgeois très basique, et de montrer que même avec ce matériel d’initiation, on peut obtenir des résultats intéressants !
Voilà pour le résumé de la semaine. Qui sait quelles surprises la prochaine semaine nous réserve? Restez inspirés et créatifs, et n’hésitez pas à passer à la boutique pour partager votre art ou simplement pour dire bonjour. À bientôt pour de nouvelles aventures créatives ! »
Les kobolds, ces créatures espiègles issues du folklore germanique, ont captivé l’imagination des gens bien avant que la science ne leur donne un nom dans le tableau périodique. Étant à l’origine des esprits domestiques ou des mineurs malicieux selon les légendes, les kobolds étaient censés habiter dans les cavernes souterraines ou les maisons, où ils jouaient des tours ou offraient leur aide, selon leur humeur.
Mais d’où vient le lien entre ces êtres folkloriques et l’élément chimique que nous connaissons sous le nom de cobalt ? Ce lien remonte à l’époque médiévale, lorsque les mineurs allemands étaient souvent trompés par des minerais colorés mais toxiques, qu’ils attribuaient aux farces des kobolds.
Ces minerais, bien que ressemblant à des minerais précieux, étaient en réalité des composés de cobalt qui, lorsqu’ils étaient fondus, libéraient de l’arsenic toxique, causant maladie et détresse chez ceux qui les manipulaient.
Aujourd’hui, le cobalt est un élément vital dans de nombreuses technologies modernes, notamment les batteries et les pigments. Cependant, la curieuse origine de son nom nous rappelle une époque où la science et le surnaturel étaient indissociablement liés dans l’esprit humain.
Dans ce thème, nous explorerons à travers des illustrations réalisées à l’aide de différents médiums l’interaction fascinante entre ces légendes ancestrales et leur matérialisation artistique. Chaque œuvre dépeindra non seulement les kobolds, mais aussi d’autres membres du « petit peuple », rappelant la riche tapisserie du folklore et de ses règles qui nous fais parfois défaut dans le monde moderne. Ces représentations visuelles serviront de prélude à un projet plus vaste et encore secret que je suis impatient de partager avec vous.
Ces créations ne visent pas seulement à raviver l’intérêt pour ces êtres mythiques, mais aussi à explorer la manière dont ils continuent d’inspirer l’art et la culture contemporains. Restez à l’écoute pour découvrir comment ces esprits de la nature prennent vie sous mon pinceau, et peut-être deviner ce qui vous attend dans ce projet mystérieux à venir.
Un petit aperçu des différents médiums utilisés pour réaliser les illustrations de ce post.
Aujourd’hui, un aperçu du processus créatif : je travaille sur une aquarelle d’un hibou, une étude en douceur et en couleurs.
La spontanéité de l’eau et des pigments capture parfaitement l’esprit curieux de cette créature nocturne. La peinture est encore humide, les détails se forment, et le hibou commence à prendre son envol sur le papier.
Voici où j’en suis avec cette œuvre, parmi pinceaux et nuances de vert et de jaune. L’art de l’aquarelle réside dans le contrôle et le lâcher-prise, un équilibre que chaque artiste doit trouver.
Restez connectés pour voir ce hibou prendre sa forme finale !
Je partage avec vous quelques observations récentes qui m’ont permis d’approfondir ma pratique du dessin d’oiseaux, un sujet qui ne cesse de m’inspirer.
Dans cette première esquisse, j’ai cherché à saisir l’essence du vol, avec l’agilité et la précision qui caractérisent les corbeaux. Les gestes rapides et les formes fluides tentent de refléter leur dynamisme naturel.
Sur ce second dessin, l’accent est mis sur la quiétude d’un merle au repos. Il y a une certaine sérénité à capturer leur immobilité contrastante, une pause dans le rythme effréné de la vie sauvage.
Enfin, ces chouettes illustrent la profondeur et l’intensité du regard animal. Le défi ici était de transmettre leur présence imposante et leur mystère, tout en conservant une approche délicate et réfléchie.
Ces études font partie d’un projet plus grand sur lequel je travaille en coulisse. L’objectif est non seulement de représenter, mais aussi de comprendre et de représenter la dynamique et la poésie de ces créatures.
Partagez vos réactions ou vos propres expériences avec ces majestueux volatiles.
Je me suis dit qu’il était temps de vous donner un petit aperçu de ce sur quoi je bosse en ce moment. Sans trop en révéler, voici quelques pages de mon carnet de croquis. C’est un peu le bazar, mais c’est là que tout commence.
Croquis d’étude de chouettes aux expressions variées, réalisés au crayon bleu.
Esquisses au crayon de visages masculins expressifs et d’un héron statique…
Ces images sont le début d’une série de cartes postales que je prépare et dont je vous ai parlé précédemment. C’est encore en mode ‘top secret’, mais je vous promets que vous serez les premiers à savoir quand tout sera prêt à être dévoilé.
Qu’est-ce que vous en pensez ? Y a-t-il un croquis qui vous accroche plus que les autres ? Peut-être des animaux en particulier que je pourrais mettre en image ?
Allez, je retourne à mes crayons. Restez connectés pour en voir plus prochainement !
Aujourd’hui, je suis ravi de partager avec vous un aperçu de quelque chose sur lequel j’ai travaillé récemment. Bien que je souhaite garder les détails du projet un peu secrets pour l’instant, je ne peux pas résister à l’envie de vous montrer quelques-unes de mes dernières créations à l’aquarelle.
Ces images représentent une nouvelle direction dans mon travail artistique, où je m’amuse à explorer des sujets plus naïfs à l’aquarelle. Chaque œuvre est une pause dans l’effervescence du quotidien.
J’espère que ces illustrations vous inspireront autant qu’elles m’inspirent. Elles sont le fruit de nombreuses heures de travail et de réflexion, et je suis impatient de partager avec vous le projet complet dès qu’il sera prêt.
D’ici là, n’hésitez pas à partager vos impressions et à me dire ce que ces images évoquent pour vous. Vos retours sont toujours une source d’inspiration et me poussent à aller de l’avant dans ma quête artistique.
Restez à l’affût pour de futures mises à jour, et merci pour votre soutien constant.