FR : Aujourd’hui, je partage avec vous cette illustration d’un iguane réalisée à l’encre et à l’aquarelle. Ce travail de commande m’a permis d’explorer les contrastes et les textures pour donner du caractère à mes sujets, et ce reptile s’y prête particulièrement bien avec ses écailles et ses crêtes imposantes.
J’ai voulu capter son regard intense et son attitude fière, tout en ajoutant un fond graphique qui met en valeur ses détails naturels. Travailler avec l’encre permet d’apporter une profondeur marquée, tandis que l’aquarelle ajoute des nuances vivantes.
Qu’en pensez-vous ? Aimez-vous ce style d’illustration ? Si vous souhaitez passer commande, n’hésitez pas à me contacter.
Les kobolds, ces créatures espiègles issues du folklore germanique, ont captivé l’imagination des gens bien avant que la science ne leur donne un nom dans le tableau périodique. Étant à l’origine des esprits domestiques ou des mineurs malicieux selon les légendes, les kobolds étaient censés habiter dans les cavernes souterraines ou les maisons, où ils jouaient des tours ou offraient leur aide, selon leur humeur.
Mais d’où vient le lien entre ces êtres folkloriques et l’élément chimique que nous connaissons sous le nom de cobalt ? Ce lien remonte à l’époque médiévale, lorsque les mineurs allemands étaient souvent trompés par des minerais colorés mais toxiques, qu’ils attribuaient aux farces des kobolds.
Ces minerais, bien que ressemblant à des minerais précieux, étaient en réalité des composés de cobalt qui, lorsqu’ils étaient fondus, libéraient de l’arsenic toxique, causant maladie et détresse chez ceux qui les manipulaient.
Aujourd’hui, le cobalt est un élément vital dans de nombreuses technologies modernes, notamment les batteries et les pigments. Cependant, la curieuse origine de son nom nous rappelle une époque où la science et le surnaturel étaient indissociablement liés dans l’esprit humain.
Dans ce thème, nous explorerons à travers des illustrations réalisées à l’aide de différents médiums l’interaction fascinante entre ces légendes ancestrales et leur matérialisation artistique. Chaque œuvre dépeindra non seulement les kobolds, mais aussi d’autres membres du « petit peuple », rappelant la riche tapisserie du folklore et de ses règles qui nous fais parfois défaut dans le monde moderne. Ces représentations visuelles serviront de prélude à un projet plus vaste et encore secret que je suis impatient de partager avec vous.
Ces créations ne visent pas seulement à raviver l’intérêt pour ces êtres mythiques, mais aussi à explorer la manière dont ils continuent d’inspirer l’art et la culture contemporains. Restez à l’écoute pour découvrir comment ces esprits de la nature prennent vie sous mon pinceau, et peut-être deviner ce qui vous attend dans ce projet mystérieux à venir.
Un petit aperçu des différents médiums utilisés pour réaliser les illustrations de ce post.
Pour le projet d’exposition dont je vous ai parlé il y a quelques jours de cela, j’ai commencé une nouvelle toile plutôt lumineuse.
La qualité de photo de mon téléphone est vraiment moyenne pour saisir les nuances de couleurs…
Petit rappel, l’idée de cette série est de proposer des œuvres avec deux contraintes : – Un rond toujours présent dans la partie supérieure de la composition. – Une palette de 4 couleurs identique pour chaque tableau.
Et quand est-ce que tu peux peindre avec le magasin ? Et ben le soir à partir de 18h00 ou le samedi où je ne suis là que pour vendre et peindre ! ^_^
Pour cette toile, je travaille beaucoup avec des brosses carrées qui me permettent d’obtenir facilement des effets de texture de type minérale. J’utilise aussi un petit pinceau d’aquarelle (dont je détourne l’usage) en petit gris et avec un bout de brosse aplatis comme une sorte de blaireau pour tamponner et adoucir certaines zones à la manière de ma pote Isa…
Il y aussi les additifs qui comptent beaucoup dans la réalisation, comme le médium à peindre brillantdes chez Lefranc Bourgeois. Il permet, après avoir dilué un peu la peinture à l’essence, de redonner un peu de fermeté à votre jus pour pouvoir faire des glacis subtiles. On pourrait presque se passer de vernis tellement le résultat est homogène…
Voilà, c’est tout pour cette semaine concernant la série de toiles. N’hésitez pas à poser des questions si vous avez des interrogations sur la peinture à l’huile ou laissez un petit commentaire. :)
Depuis quelques temps, je me suis remis à la peinture à l’huile sans but précis… Le prétexte était surtout d’utiliser une vieille toile en lin sur laquelle j’avais fait pas mal de tests de toutes sortes.
Finalement je me suis pris au jeu et me suis lancé le défi de faire une dizaine de toiles en 10F (55x46cm) ou 10P (55x38cm), en partant d’une composition autour d’un rond et une palette de quatre couleurs.
Pour le moment, je viens de terminer deux peintures et suis en train de finaliser une troisième. Vous pouvez suivre les petits instantanés que je poste sur instagram mais je pense que c’est un projet que je développerai plus ici sous forme d’articles ou de storys, pour le confort de la lecture. :)
Première productionDeuxième productionTroisième production en cours
L’exposition aura lieu à Besançon mais je ne sais pas encore à quel endroit… N’hésitez pas, en tout cas, à me faire part de vos impressions sur le projet. ;)
En ce moment, avec les gamins, on regarde l’animé Boku No Hiro Academia, un shonen très sympa, très péchu où les combats ne durent ABSOLUMENT PAS une éternité !
Et comme dans cette série, tous les personnages sont des super héros ou souhaitent le devenir, je me suis dit que je pouvais reprendre un peu l’idée avec ma figurine Body Chan…
Elle, elle n’est capable que de sauter par ma tasse de café mais, hé, c’est déjà pas mal et ça méritait d’être mis en image avec mes belles aquarelles Sakura ! :D
J’espère que vous avez passé de bons moments et que vous avez été gâtés… Moi je n’ai pas à me plaindre, j’ai eu de beaux cadeaux dont une superbe boite d’aquarelles #Sakura (je ne pensais plus que la marque existait encore).
Du coup, j’en ai profité, aujourd’hui, pour faire une petite gribouille rapide à l’aide de mon mannequin #bodychan pour la pose. Ça ne casse pas trois pattes à un canard mais comme je suis susceptible de travailler prochainement sur un projet « Nouvelle Orléans » je commence à me mettre tout doucement dans l’ambiance. ;)
Ce dimanche mon gamin est venu me montrer son exposé sur le xipho, le « poisson porte épée ». Du coup je lui ai proposé de faire une petite image à ajouter à ajouter à son travail. 🐟🐠
Ce matin j’ai voulu faire une petite incursion dans l’univers de la première guerre mondiale. Il y a une petite actualité autour du sujet en ce moment à la librairie où je travaille donc j’en profite pour sortir un peu de ma zone de confort. 😊
Depuis quelques jours je me suis amusé à faire quelque petites illustrations sur le thème des Pokémons. C’est tellement récréatif que je me suis même permis quelques petits « mash-up » Pokémon-Dragon ball & Pokémon-Totoro. :D