Ce matin je travaille sur deux croquis. Des pâtisseries mignonnes et Métro, le robot de « Il était une fois l’espace ». 🤖🍰
La recherche est à la mine bleu donc le rendu n’est pas foufou, désolé… 🤔
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Illustrateur Professionnel Freelance
Ce matin je travaille sur deux croquis. Des pâtisseries mignonnes et Métro, le robot de « Il était une fois l’espace ». 🤖🍰
La recherche est à la mine bleu donc le rendu n’est pas foufou, désolé… 🤔
Les kobolds, ces créatures espiègles issues du folklore germanique, ont captivé l’imagination des gens bien avant que la science ne leur donne un nom dans le tableau périodique. Étant à l’origine des esprits domestiques ou des mineurs malicieux selon les légendes, les kobolds étaient censés habiter dans les cavernes souterraines ou les maisons, où ils jouaient des tours ou offraient leur aide, selon leur humeur.
Mais d’où vient le lien entre ces êtres folkloriques et l’élément chimique que nous connaissons sous le nom de cobalt ? Ce lien remonte à l’époque médiévale, lorsque les mineurs allemands étaient souvent trompés par des minerais colorés mais toxiques, qu’ils attribuaient aux farces des kobolds.
Ces minerais, bien que ressemblant à des minerais précieux, étaient en réalité des composés de cobalt qui, lorsqu’ils étaient fondus, libéraient de l’arsenic toxique, causant maladie et détresse chez ceux qui les manipulaient.
Aujourd’hui, le cobalt est un élément vital dans de nombreuses technologies modernes, notamment les batteries et les pigments. Cependant, la curieuse origine de son nom nous rappelle une époque où la science et le surnaturel étaient indissociablement liés dans l’esprit humain.
Dans ce thème, nous explorerons à travers des illustrations réalisées à l’aide de différents médiums l’interaction fascinante entre ces légendes ancestrales et leur matérialisation artistique. Chaque œuvre dépeindra non seulement les kobolds, mais aussi d’autres membres du « petit peuple », rappelant la riche tapisserie du folklore et de ses règles qui nous fais parfois défaut dans le monde moderne. Ces représentations visuelles serviront de prélude à un projet plus vaste et encore secret que je suis impatient de partager avec vous.
Ces créations ne visent pas seulement à raviver l’intérêt pour ces êtres mythiques, mais aussi à explorer la manière dont ils continuent d’inspirer l’art et la culture contemporains. Restez à l’écoute pour découvrir comment ces esprits de la nature prennent vie sous mon pinceau, et peut-être deviner ce qui vous attend dans ce projet mystérieux à venir.
Un petit aperçu des différents médiums utilisés pour réaliser les illustrations de ce post.
Salut tout le monde,
Je me suis dit qu’il était temps de vous donner un petit aperçu de ce sur quoi je bosse en ce moment. Sans trop en révéler, voici quelques pages de mon carnet de croquis. C’est un peu le bazar, mais c’est là que tout commence.
Croquis d’étude de chouettes aux expressions variées, réalisés au crayon bleu.
Esquisses au crayon de visages masculins expressifs et d’un héron statique…
Ces images sont le début d’une série de cartes postales que je prépare et dont je vous ai parlé précédemment. C’est encore en mode ‘top secret’, mais je vous promets que vous serez les premiers à savoir quand tout sera prêt à être dévoilé.
Qu’est-ce que vous en pensez ? Y a-t-il un croquis qui vous accroche plus que les autres ? Peut-être des animaux en particulier que je pourrais mettre en image ?
Allez, je retourne à mes crayons. Restez connectés pour en voir plus prochainement !
A plus,
Alex
Bonjour à toutes et tous,
Aujourd’hui, je suis ravi de partager avec vous un aperçu de quelque chose sur lequel j’ai travaillé récemment. Bien que je souhaite garder les détails du projet un peu secrets pour l’instant, je ne peux pas résister à l’envie de vous montrer quelques-unes de mes dernières créations à l’aquarelle.
Ces images représentent une nouvelle direction dans mon travail artistique, où je m’amuse à explorer des sujets plus naïfs à l’aquarelle. Chaque œuvre est une pause dans l’effervescence du quotidien.
J’espère que ces illustrations vous inspireront autant qu’elles m’inspirent. Elles sont le fruit de nombreuses heures de travail et de réflexion, et je suis impatient de partager avec vous le projet complet dès qu’il sera prêt.
D’ici là, n’hésitez pas à partager vos impressions et à me dire ce que ces images évoquent pour vous. Vos retours sont toujours une source d’inspiration et me poussent à aller de l’avant dans ma quête artistique.
Restez à l’affût pour de futures mises à jour, et merci pour votre soutien constant.
À bientôt,
Alex :)
Pendant le mois de décembre j’ai fait un petit calendrier maison sur le thème du Disque Monde de Terry Pratchett.
Les fêtes sont passées mais ce n’est pas une raison pour ne pas se refaire un petit plaisir en revisitant c’est petite série dessins. 😀
Est-ce que vous connaissez tous ces personnages ?
Hollywood, cette monstrueuse machine à histoires, a donné le jour à une quantité considérable de robots en tous genres mais c’est en 1956, dans le long métrage « La Planète Interdite« , que l’un d’entre eux va véritablement marquer l’esprit du public au point devenir une icône de la Science Fiction.
Pour ce deuxième portrait, laissez-moi vous présenter : ROBBY le robot
XXIII ème siècle, le professeur Edward Morbius et sa fille Altaira, seuls survivants de l’équipage du vaisseau d’exploration « le Bellérophon » décimé par une mystérieuse créature peu après leur arrivée sur la planète Altaïr IV, sont accompagnés d’un robot prénommé ROBBY.
ROBBY est un robot serviteur conçu par le professeur Morbius à l’aide des connaissances recueillis dans les vestiges de la technologie Krell (premier peuple à avoir foulé le sol d’Altaïr IV et à en avoir complètement et inexplicablement disparu).
ROBBY est un robot qui est totalement au service du professeur Morbius et ne fait preuve d’aucune personnalité ou charisme véritable sinon que de respecter les 3 lois de la robotique auxquelles il est assujetti.
Toutefois, sa conception étant basée sur les connaissances de la race extra-terrestre Krell, il bénéficie de nombreuses capacités tel quel des lasers, un revêtement indestructible, une force herculéenne et, surtout, un « analyseur de molécules » qui lui permet de dupliquer n’importe quoi, même la nourriture, à volonté.
Les capacités de ROBBY impressionneront l’équipage, exclusivement masculin, du croiseur C-57D arrivé sur Altaïr IV afin de découvrir ce qu’il est advenu du Bellérophon dont ils étaient sans nouvelle depuis 19 ans.
Pour la petite anecdote, le très phallocrate commandant Adams du C-57D est interprété par l’excellent Leslie Nielsen (1926-2010) qui joue ici son second rôle principal de long métrage, lequel lancera littéralement sa carrière d’acteur.
ROBBY a été imaginé par Robert Kinoshita (1914-2014). Il semblerait que le design final ait été décidé à partir d’une figurine sur laquelle R.K travaillait, un peu en désespoir de cause, alors qu’il n’aboutissait à rien après une quantité de croquis…
C’est à ce moment que le directeur artistique est entrée dans son bureau, a vu la figurine et s’est écrié : « C’est quoi ça ?! Je le prends ! » pour ensuite foncer dans le bureau du producteur. ROBBY était né !
Le costume de ROBBY mesure environ 2.10 m, est composé essentiellement de plastique et d’aluminium et pèse près de 45kg. C’est une description qui ferait à peine lever le sourcil d’un « cosplayer » mais ce qu’il faut savoir, c’est qu’en 1956, le modelage du plastique n’était pas aussi simple qu’aujourd’hui et qu’il a fallu trouver un système pour intégrer une batterie au costume afin d’activer tous les éléments mobiles de celui-ci et que l’acteur Frankie Darro (1917-1976), puisse se déplacer sans la gène d’un câble.
Cette petite prouesse technique coûtera la coquette somme de 125 000$ de l’époque, ce qui peut représenter un peu plus de 1M $ aujourd’hui.
Après le succès surprise du robot qui « volera » carrément la vedette dans La Planète Interdite, on retrouvera ROBBY, à la demande insistante du public, dans un nouveau long métrage de science fiction, cette fois sur Terre et au XX ème siècle, « The Invisible Boy« .
Dans ce film le robot est retrouvé en pièces détachées, prenant la poussière avec pour seule explication de sa présence qu’il a, tout simplement, été ramené du XXIII ème siècle mais qu’on ne sait pas comment le réparer.
Ce second film ne remportera pas le succès escompté et ce sera la fin de la courte carrière de notre robot.
Toutefois, l’impression qu’il laisse sur le public est tellement forte qu’il entrera dans le panthéon des icônes du cinéma fantastique et fera de très nombreuses apparitions en tant que « guest star » ou simple caméo.
Mes images ont été faites sur du papier kraft Hahnemüehle et papier aquarelle 200gr Fabriano grain fin avec les feutres tombow fudenosuke, les pentel brush sign pen et ma palette d’aquarelle Sakura Koi.
Encore plein d’autres robots à suivre… ;)
N’hésitez pas à me contacter par message si vous avez des envies de commandes et sinon un petit clic sur l’image pour me soutenir :) :
Comme j’ai pu le mentionner dans mes billets précédents, j’ai décidé de dédier cette année 2020 aux robots. Il n’y a pas de raison précise ni d’événement particulier se rattachant à ce thème (en tout cas pas à ma connaissance), juste une envie de me replonger dans des univers qui m’on fait rêvé étant gamin et de les partager.
Inspiré par Valérie Mangin et ses excellents portraits de « femme du jour » je vais vous présenter des portraits de robots réels ou imaginaires plus ou moins connus du grand public.
Pour ce premier portrait, laissez-moi vous présenter V.I.N.CENT
V.I.N.CENT (Vital Information Necessary CENTralized)* est le robot de bord du vaisseau d’exploration Palomino dans le film de Disney « Le Trou Noir » en 1979.
C’est un robot à la personnalité placide et spirituelle qui ne manque pas une occasion de placer une citation ou une remarque : « Un loup reste un loup même s’il n’a pas mangé vos moutons« .
Néanmoins, à l’instar de son congénère R2D2 c’est aussi « un petit bagarreur » un peu fanfaron et comme il le dit lui-même : « Je ne veux pas me donner des airs supérieurs mais je déteste la compagnie d’autres robots. »
Il fera toutefois une exception à la rencontre du pauvre B.O.B (BiO-sanitation Battalion)** , vieux modèle déglingué ressemblant beaucoup à V.I.N.CENT, sur l’ USS Cygnus, vaisseau stationnant au bord d’un trou noir et qui n’avait plus donné signe de vie depuis 20 ans…
Côté technique, V.I.N.CENT mesure environ 1m de haut, se déplace en « flottement » stationnaire, est équipé de quatre pinces et deux lasers rétractables ainsi que de deux sphères magnétiques en guise de « pieds » qui lui permettent de rester accroché à une paroi, notamment pour les sorties de réparation dans l’espace.
En fait, tout, sur V.I.N.CENT est rétractable, même sa tête, ce qui lui donne la possibilité de se transformer en une espèce de boulet de canon.
Il a aussi la capacité de communiquer par télépathie avec Kate McCrae, membre de l’équipage du Palomino.
Artistiquement, V.I.N.CENT a d’abord été imaginé par le peintre de la N.A.S.A Robert T. McCall (1919-2010) qui voulait lui donner des allures de « colibri capable de voler sur place avec grâce »
Par la suite, le design et la réalisation du robot seront repris par George McGinnis (1930-2017), responsable de « l’imaginiérie » chez Disney, qui lui apportera le côté plus « lisse » et « cartoon » propre à la célèbre industrie du dessin animé.
Le Trou Noir, bien qu’ayant l’ambition de marcher dans les pas de Star Wars et 2001 l’odyssée de l’espace, se révélera être un film au succès très relatif dû à son aspect de science fiction sombre et expérimentale (les connaissances sur les trous noirs était alors très réduites) et le petit robot V.I.N.CENT, malgré quelques apparitions dans des jeux vidéos et autres séries animées, tombera lui aussi dans le trou noir de l’oubli… Jusqu’à aujourd’hui ! ^_^
Mes images ont été faites sur du papier kraft Hahnemüehle et papier aquarelle 200gr Fabriano grain fin avec les feutres tombow fudenosuke, les pentel brush sign pen et ma palette d’aquarelle Sakura Koi.
Encore plein d’autres robots à suivre… ;)
N’hésitez pas à me contacter par message si vous avez des envies de commandes et sinon un petit clic sur l’image pour me soutenir :) :
Inspiré par l’oeuvre de Terry Pratchett « Les annales du Disque-Monde« , voici une petite illustration qui représente un bagage tel que l’on peut en trouver dans cet univers. :)
J’ai même pris le temps de faire quelques captures d’écran afin que vous puissiez voir la progression, étape par étape.
[Best_Wordpress_Gallery id= »1″ gal_title= »Le Bagage »]
Ces images ont été faites avec le logiciel opensource Krita.
Si ça vous intéresse, j’ai même fait une série de stickers et de T-shirts avec cette illustration que vous pouvez trouvez ici :
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Je continue donc cette cession de character design autour des robots.
Ce qui est sympa avec ce thème, c’est qu’il n’y a pratiquement aucune limite.
On peut tout tester, du moment que l’on rajoute « robot » derrière ! :D
Comme là, par exemple, on peut reprendre un conte ou un sport…
Ces images ont été faites sur du papier kraft avec les feutres tombow fudenosuke, les pentel brush sign pen et ma palette d’aquarelle Sakura Koi.
Encore plein d’autres robots à suivre… ;)
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C’est décidé, pour moi, cette année 2020 sera sur le thème des robots !
Probablement quelque chose à voir avec la saison 2 de Lost in Space, toujours est-il que j’ai envie de me replonger dans mes univers de gamin remplis de Legos, de figurines Star Wars, de vaisseaux de Il était une fois l’espace, des Mondes Engloutis, etc.
Peut-être que des mutants s’inviterons par la suite, allez savoir.
En tout cas, pour aujourd’hui, voici les petites images que j’ai produites.
Encore plein d’autres robots à suivre… ;)
N’hésitez pas à me contacter par message si vous avez des envies de commandes et sinon un petit clic sur l’image pour me soutenir :) :
Aujourd’hui j’ai pas mal de choses à vous faire partager parce que je prépare le « calendrier de l’avent » du blog !
Je ne vais pas trop vous en dire pour ne pas gâcher la surprise mais je peux vous montrer quelques petites recherches sur lesquelles je travaille en ce moment.
Ce sont des études de bonhommes de neige :
Et en bonus vous avez droit à une petite vidéo « tuto » sur la réalisation de l’un d’entre eux !
Voilà, c’est tout pour aujourd’hui mais surtout n’oubliez pas :
Je me lance dans un nouveau projet de série d’illustrations dont le thème est « lecture et sensualité ».
Ça parait un peu bateau comme thématique mais je m’aperçois, en en parlant autour de moi, que le sujet n’est pas si évident que ça dès que l’on veut un peut s’éloigner des clichés…
Comme j’ai envoie de couvrir ce sujet de la manière la plus vaste possible, je vais essayer d’appréhender le plus de « genres » possibles. On verra ce que ça peut donner.
Pour le moment, j’ai commencé avec des versions on ne peut plus classique. :)
Cette sympathique petite image qui met en scène une « corn husk doll » maléfique de la Nouvelle Orléans est un fan-art basé sur le jeu de rôle épouvante / fantastique de mon ami Christophe : Mississippi : a Southern Gothic RPG / un JDR Southern Gothic
C’est un projet pour lequel j’ai dû réaliser une commande d’un peu plus d’une vingtaine d’images et dont vous avez pu avoir quelques aperçus sur mon compte instagram…
La commande est terminée depuis un petit moment mais comme le sujet m’a énormément plu et que ces images ont été réalisées sur un carnet Moleskine format A4 qui n’a été rempli qu’à la moitié, j’ai décidé de continuer à faire d’autres illustrations sur le thème du folklore fantastique de la Nouvelle Orléans afin de finir le carnet.
Donc, vous allez avoir le plaisir de pouvoir découvrir de nouvelles images inspirées directement du jeu de rôle et de l’énorme travail de recherche de Christophe. ;)
Et voilà ! Un troisième carnet d’achevé. Je vais vraiment pouvoir commencer à trier les dessins les plus intéressants pour le petit recueil.
En attendant voilà un petit aperçu des dernières pages. Amusez vous bien. :-)
Cette semaine, dans les bistrots, il s’est passé tout ça ! :)
Le projet d’édition du carnet est en cours d’élaboration… Je suis en train d’en préparer la maquette mais le plus difficile est de choisir les images à publier et, surtout, le nombre de pages.
En attendant, amusez-vous. ;)
Deux nouvelles images (pas si nouvelles pour celles et ceux qui me suivent sur les réseaux sociaux) pour étoffer la galerie de mon projet d’illustrations libres et gratuites pour tatouages.
– Le Roi Hibou : dessin réalisé en 5h à la mine bleue sur une feuille A3 (29.7 x 42 cm) Canson « imagine » mixe média 200gr / grain fin. Le dessin seul mesurant environ 10 x 30cm.
– 9 Dragons : dessin réalisé en 10h à la mine bleue sur une feuille A3 (29.7 x 42 cm) Canson « imagine » mixe média 200gr / grain fin. Le dessin seul mesurant environ 25 x 25cm.
Ces deux images sont donc téléchargeables (clic droit « enregistrer sous ») libres, gratuites, modifiables et commercialisables dans les salons de tatouage (uniquement pour du tatouage).
Prenez juste le temps de me mentionner quelque part. ;)
Si vous souhaitez acheter les originaux, ils seront bientôt en vente dans la partie boutique de mon blog.
Si vous voulez « supporter la cause » et m’aider à réaliser plus d’illustrations gratuites pour tatouage, vous pouvez le faire via PayPal ou Patreon. ;)
N’hésitez pas à me faire part, en commentaires, de vos demandes de sujets pour des futurs images. ;)
Profitez en ! Elles sont à vous ! ;)