Voilà ! La 4ème toile est terminée ! Elle aura été un peu plus contraignante à réaliser et équilibrer mais je suis très content des émotions qu’elle provoque chez le peu de personne qui ont pu la voir en vrai ! :)
C’est parti pour la suivante !
N’hésitez pas à me faire part de vos commentaires en bas de cette page.
On progresse, on progresse ! Ce n’est pas encore tout à fait terminé mais le dénouement de cette 4ème toile est proche. J’hésite encore sur la lumière à faire circuler ou pas… Trop de lumière donnerait un aspect figuratif à l’ambiance avec l’obligation de révéler des détails alors que ce n’est pas le but. Trop peu de lumière, au contraire, risque de gêner dans la lecture de l’image… Bref, encore quelques questions en suspend avoir de mettre la touche finale. A suivre. :)
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Pour le projet d’exposition dont je vous ai parlé il y a quelques jours de cela, j’ai commencé une nouvelle toile plutôt lumineuse.
La qualité de photo de mon téléphone est vraiment moyenne pour saisir les nuances de couleurs…
Petit rappel, l’idée de cette série est de proposer des œuvres avec deux contraintes : – Un rond toujours présent dans la partie supérieure de la composition. – Une palette de 4 couleurs identique pour chaque tableau.
Et quand est-ce que tu peux peindre avec le magasin ? Et ben le soir à partir de 18h00 ou le samedi où je ne suis là que pour vendre et peindre ! ^_^
Pour cette toile, je travaille beaucoup avec des brosses carrées qui me permettent d’obtenir facilement des effets de texture de type minérale. J’utilise aussi un petit pinceau d’aquarelle (dont je détourne l’usage) en petit gris et avec un bout de brosse aplatis comme une sorte de blaireau pour tamponner et adoucir certaines zones à la manière de ma pote Isa…
Il y aussi les additifs qui comptent beaucoup dans la réalisation, comme le médium à peindre brillantdes chez Lefranc Bourgeois. Il permet, après avoir dilué un peu la peinture à l’essence, de redonner un peu de fermeté à votre jus pour pouvoir faire des glacis subtiles. On pourrait presque se passer de vernis tellement le résultat est homogène…
Voilà, c’est tout pour cette semaine concernant la série de toiles. N’hésitez pas à poser des questions si vous avez des interrogations sur la peinture à l’huile ou laissez un petit commentaire. :)
Depuis quelques temps, je me suis remis à la peinture à l’huile sans but précis… Le prétexte était surtout d’utiliser une vieille toile en lin sur laquelle j’avais fait pas mal de tests de toutes sortes.
Finalement je me suis pris au jeu et me suis lancé le défi de faire une dizaine de toiles en 10F (55x46cm) ou 10P (55x38cm), en partant d’une composition autour d’un rond et une palette de quatre couleurs.
Pour le moment, je viens de terminer deux peintures et suis en train de finaliser une troisième. Vous pouvez suivre les petits instantanés que je poste sur instagram mais je pense que c’est un projet que je développerai plus ici sous forme d’articles ou de storys, pour le confort de la lecture. :)
Première productionDeuxième productionTroisième production en cours
L’exposition aura lieu à Besançon mais je ne sais pas encore à quel endroit… N’hésitez pas, en tout cas, à me faire part de vos impressions sur le projet. ;)
Hollywood, cette monstrueuse machine à histoires, a donné le jour à une quantité considérable de robots en tous genres mais c’est en 1956, dans le long métrage « La Planète Interdite« , que l’un d’entre eux va véritablement marquer l’esprit du public au point devenir une icône de la Science Fiction.
Pour ce deuxième portrait, laissez-moi vous présenter : ROBBY le robot
ROBBY le robot (mentionné tel quel au générique)
XXIII ème siècle, le professeur Edward Morbius et sa fille Altaira, seuls survivants de l’équipage du vaisseau d’exploration « le Bellérophon » décimé par une mystérieuse créature peu après leur arrivée sur la planète Altaïr IV, sont accompagnés d’un robot prénommé ROBBY.
ROBBY est un robot serviteur conçu par le professeur Morbius à l’aide des connaissances recueillis dans les vestiges de la technologie Krell (premier peuple à avoir foulé le sol d’Altaïr IV et à en avoir complètement et inexplicablement disparu).
Techniquement
ROBBY est un robot qui est totalement au service du professeur Morbius et ne fait preuve d’aucune personnalité ou charisme véritable sinon que de respecter les 3 lois de la robotique auxquelles il est assujetti.
Toutefois, sa conception étant basée sur les connaissances de la race extra-terrestre Krell, il bénéficie de nombreuses capacités tel quel des lasers, un revêtement indestructible, une force herculéenne et, surtout, un « analyseur de molécules » qui lui permet de dupliquer n’importe quoi, même la nourriture, à volonté.
Les capacités de ROBBY impressionneront l’équipage, exclusivement masculin, du croiseur C-57D arrivé sur Altaïr IV afin de découvrir ce qu’il est advenu du Bellérophon dont ils étaient sans nouvelle depuis 19 ans.
Vision du XXIII ème siècle dans les années 50. On voyage plus vite que la lumière, tout a évolué… Sauf les femmes. :D
Pour la petite anecdote, le très phallocrate commandant Adams du C-57D est interprété par l’excellent Leslie Nielsen (1926-2010) qui joue ici son second rôle principal de long métrage, lequel lancera littéralement sa carrière d’acteur.
Heureusement que les temps ont changé et que l’on ne reproche plus aux femmes leur façon de s’habiller ! Ouf ! :D
Artistiquement
ROBBY a été imaginé par Robert Kinoshita (1914-2014). Il semblerait que le design final ait été décidé à partir d’une figurine sur laquelle R.K travaillait, un peu en désespoir de cause, alors qu’il n’aboutissait à rien après une quantité de croquis… C’est à ce moment que le directeur artistique est entrée dans son bureau, a vu la figurine et s’est écrié : « C’est quoi ça ?! Je le prends ! » pour ensuite foncer dans le bureau du producteur. ROBBY était né !
Un des « blue print » finaux du robot
Le costume de ROBBY mesure environ 2.10 m, est composé essentiellement de plastique et d’aluminium et pèse près de 45kg. C’est une description qui ferait à peine lever le sourcil d’un « cosplayer » mais ce qu’il faut savoir, c’est qu’en 1956, le modelage du plastique n’était pas aussi simple qu’aujourd’hui et qu’il a fallu trouver un système pour intégrer une batterie au costume afin d’activer tous les éléments mobiles de celui-ci et que l’acteur Frankie Darro (1917-1976), puisse se déplacer sans la gène d’un câble.
Cette petite prouesse technique coûtera la coquette somme de 125 000$ de l’époque, ce qui peut représenter un peu plus de 1M $ aujourd’hui.
On apprécie la sur-dramatisation de l’affiche. :D
Même chose ici avec un robot enragé… Qui n’est pas aussi terrifiant en réalité. :)
Par la puissance du scénario !!!
Après le succès surprise du robot qui « volera » carrément la vedette dans La Planète Interdite, on retrouvera ROBBY, à la demande insistante du public, dans un nouveau long métrage de science fiction, cette fois sur Terre et au XX ème siècle, « The Invisible Boy« . Dans ce film le robot est retrouvé en pièces détachées, prenant la poussière avec pour seule explication de sa présence qu’il a, tout simplement, été ramené du XXIII ème siècle mais qu’on ne sait pas comment le réparer.
Ce second film ne remportera pas le succès escompté et ce sera la fin de la courte carrière de notre robot.
Toutefois, l’impression qu’il laisse sur le public est tellement forte qu’il entrera dans le panthéon des icônes du cinéma fantastique et fera de très nombreuses apparitions en tant que « guest star » ou simple caméo.
Encore plein d’autres robots à suivre… ;)
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Comme j’ai pu le mentionner dans mes billets précédents, j’ai décidé de dédier cette année 2020 aux robots. Il n’y a pas de raison précise ni d’événement particulier se rattachant à ce thème (en tout cas pas à ma connaissance), juste une envie de me replonger dans des univers qui m’on fait rêvé étant gamin et de les partager.
Inspiré par Valérie Mangin et ses excellents portraits de « femme du jour » je vais vous présenter des portraits de robots réels ou imaginaires plus ou moins connus du grand public.
Pour ce premier portrait, laissez-moi vous présenter V.I.N.CENT
V.I.N.CENT (Vital Information Necessary CENTralized)
V.I.N.CENT (Vital Information Necessary CENTralized)* est le robot de bord du vaisseau d’exploration Palomino dans le film de Disney « Le Trou Noir » en 1979.
C’est un robot à la personnalité placide et spirituelle qui ne manque pas une occasion de placer une citation ou une remarque : « Un loup reste un loup même s’il n’a pas mangé vos moutons« .
Néanmoins, à l’instar de son congénère R2D2 c’est aussi « un petit bagarreur » un peu fanfaron et comme il le dit lui-même : « Je ne veux pas me donner des airs supérieurs mais je déteste la compagnie d’autres robots. » Il fera toutefois une exception à la rencontre du pauvre B.O.B (BiO-sanitation Battalion)** , vieux modèle déglingué ressemblant beaucoup à V.I.N.CENT, sur l’ USS Cygnus, vaisseau stationnant au bord d’un trou noir et qui n’avait plus donné signe de vie depuis 20 ans…
(*) Information Vitale et Nécessaire Centralisée
(**) Bataillon Bio-Sanitaire
V.I.N.CENT & B.O.B (vraie citation)
Côté technique, V.I.N.CENT mesure environ 1m de haut, se déplace en « flottement » stationnaire, est équipé de quatre pinces et deux lasers rétractables ainsi que de deux sphères magnétiques en guise de « pieds » qui lui permettent de rester accroché à une paroi, notamment pour les sorties de réparation dans l’espace.
En fait, tout, sur V.I.N.CENT est rétractable, même sa tête, ce qui lui donne la possibilité de se transformer en une espèce de boulet de canon. Il a aussi la capacité de communiquer par télépathie avec Kate McCrae, membre de l’équipage du Palomino.
Il a aussi la capacité de communiquer par télépathie avec Kate McCrae (non ce n’est pas dans le film)
Artistiquement, V.I.N.CENT a d’abord été imaginé par le peintre de la N.A.S.A Robert T. McCall (1919-2010) qui voulait lui donner des allures de « colibri capable de voler sur place avec grâce »
Peinture Originale de Pré-Production de Robert T. McCall du robot VINC.E.N.T
Par la suite, le design et la réalisation du robot seront repris par George McGinnis (1930-2017), responsable de « l’imaginiérie » chez Disney, qui lui apportera le côté plus « lisse » et « cartoon » propre à la célèbre industrie du dessin animé.
Croquis d’études de V.I.N.CENT par George McGinnis
Le Trou Noir, bien qu’ayant l’ambition de marcher dans les pas de Star Wars et 2001 l’odyssée de l’espace, se révélera être un film au succès très relatif dû à son aspect de science fiction sombre et expérimentale (les connaissances sur les trous noirs était alors très réduites) et le petit robot V.I.N.CENT, malgré quelques apparitions dans des jeux vidéos et autres séries animées, tombera lui aussi dans le trou noir de l’oubli… Jusqu’à aujourd’hui ! ^_^
Encore plein d’autres robots à suivre… ;)
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Inspiré par l’oeuvre de Terry Pratchett « Les annales du Disque-Monde« , voici une petite illustration qui représente un bagage tel que l’on peut en trouver dans cet univers. :)
Il vous suivra jusqu’au bout du monde… et même au-delà !
J’ai même pris le temps de faire quelques captures d’écran afin que vous puissiez voir la progression, étape par étape.
Je continue donc cette cession de character design autour des robots.
Ce qui est sympa avec ce thème, c’est qu’il n’y a pratiquement aucune limite.
On peut tout tester, du moment que l’on rajoute « robot » derrière ! :D
Comme là, par exemple, on peut reprendre un conte ou un sport…
Le petit chaperon bot, la galette bot et la grand-mère bot
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C’est décidé, pour moi, cette année 2020 sera sur le thème des robots !
Probablement quelque chose à voir avec la saison 2 de Lost in Space, toujours est-il que j’ai envie de me replonger dans mes univers de gamin remplis de Legos, de figurines Star Wars, de vaisseaux de Il était une fois l’espace, des Mondes Engloutis, etc.
Peut-être que des mutants s’inviterons par la suite, allez savoir.
En tout cas, pour aujourd’hui, voici les petites images que j’ai produites.
Une méduse robot, un crabe robot et des lutins robots
Un bidule robot, un machin robot et une chenille robot
Un gorille robot dans la brume
Encore plein d’autres robots à suivre… ;)
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Ce dimanche mon gamin est venu me montrer son exposé sur le xipho, le « poisson porte épée ». Du coup je lui ai proposé de faire une petite image à ajouter à ajouter à son travail. 🐟🐠
Ce matin j’ai voulu faire une petite incursion dans l’univers de la première guerre mondiale. Il y a une petite actualité autour du sujet en ce moment à la librairie où je travaille donc j’en profite pour sortir un peu de ma zone de confort. 😊
« Vous arrivez à la grille du manoir abandonné de la famille Van Strudel, dernière destination connue du grand chef étoilé Jean-Jacques Charbonnier. La famille de ce dernier a fait appel aux services de votre agence » particulière » afin d’en retrouver la trace…
Cet été j’ai voulu apporter mon petit grain de sel sur le phénomène « pokemon go » sur la base d’une conversation entendue dans la rue.
D’abord, trouver l’idée.
Il faisait beau, dans le jardin de la maison de Lauzerte… L’endroit idéal pour laisser aller son imagination.
Une fois l’idée trouvée et le crayonné tracé je peux attaquer la mise en couleurs.
Au bout de trois jours (sans compter les jours de pluie pendant lesquels je ne pouvais pas peindre par manque de lumière) j’arrive enfin au bout de mon illustration.
Alors entendons nous bien, je n’ai rien contre cette application que je trouve plutôt sympa et amusante (en plus elle fait marcher)… Il faudrait juste que les personnes n’oublient que la meilleure console de jeu se trouve entre leurs oreilles. 😀
Fr: Ok, elle n’est pas super noire non plus mais j’aimais bien l’idée d’un mixe entre la représentation européenne de la fée et une touche d’Afrique par dessus.
Eng: All right, she’s not that black but I liked the idea of an European typed fairy mixed with a bit of African details.